« J’aurais aimé qu’il se mette à pleurer devant moi et qu’il me dise ce qu’il a fait à ma mère. Je voulais avoir des aveux de mon père. »
Après un long silence, Elizabeth Laplante a accepté de relater au Journalcomment elle a vécu l’un des drames familiaux les plus médiatisés de la province : la disparition de sa mère Diane Grégoire, en 2008, ainsi que l’arrestation de son père, qui s’est enlevé la vie quatre ans plus tard alors qu’il venait d’être accusé du meurtre.